L’amour dans l’assiette !

🍽👶 Aujourd’hui c’était le 1er repas du petit M. à la maison. Il avait commencé à découvrir la variété des légumes et protéines grâce à ses parents depuis quelques semaines. Continuer la lecture de L’amour dans l’assiette !

Florilège d’assiettes quasi végétales.

Je partage ici quelques assiettes plaisir, santé, vitalité. J’essaie de faire un petit peu dans le joli mais ce n’est pas mon inspiration première car j’ai avant tout besoin du goût exact qui va satisfaire mon palais et mon coeur. Et parfois les écrasés, les purées, les méli-mélos ce n’est pas tout à fait ce qu’il y a de plus beau. Tous les sens doivent pouvoir être au rendez-vous quand on passe à table. La vue, l’odorat et le goût, le toucher, et pourquoi pas l’ouïe si ça croustille ou si on goûte au silence. Bon ap’ !

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Quand la nutrition de pointe sauve des vies !

Je me souviens d’une conférence d’Isabelle Filliozat à la fin de laquelle j’avais été agréablement surprise qu’elle mette sur le tapis le sujet de l’alimentation des enfants. Vous allez me dire : « Qu’est-ce qu’une psy peut bien savoir là-dessus ? C’est quoi le rapport ? Est-ce qu’elle n’est pas plutôt spécialiste des émotions et de la parentalité ? »

Et bien justement, tout est lié. Le développement de l’enfant, son bien-être et sa santé sont le fruit d’un faisceau de facteurs qui facilitent ou rendent plus difficile la vie de nos petits ; de nous les grands aussi, soit dit en passant. Parmi ces facteurs l’un des plus importants est l’alimentation et c’est pour cela qu’Isabelle Filliozat tentait de susciter notre curiosité à ce sujet. De plus l’alimentation est un facteur sur lequel on peut agir quand il est plus difficile d’agir directement sur une hérédité, une maladie, etc. Je me ori-sucette-de-noel-a-suspendre-rouge-blanc-7550souviens qu’Isabelle Filliozat avait sorti une sucette ronde et bien rouge avant de diffuser en gros plan sa composition. Et sur grand écran sont apparus les vilains mots chimiques accompagnés d’un avertissement du style « attention peut causer des troubles de l’attention, de l’hyperactivité ». Wow, la petite friandise plaisir qui se transforme en grand méchant loup, pas très engageant tout ça…

 

Dans cet exemple les additifs étaient en cause. Avec un peu de bon sens et d’attention à son panier il est facile de supprimer ça de nos assiettes. C’est plus compliqué de relever le challenge d’une alimentation plaisir-santé-simplicité et c’est pour ça que je parle régulièrement du FitGood Club de Lille qui est une perle en la matière. C’est justement à l’occasion d’une conférence organisée par ce Club à propos du lien entre notre cerveau et les intestins que j’ai découvert le Dr Natasha Campbell et le syndrome entéropsychologique qu’elle a mis en lumière (GAP Syndrome). La démarche de ce médecin m’a beaucoup touchée car c’est son histoire de maman qui a réorienté sa spécialisation en médecine. Initialement Natasha Campbell était neurologue neurochirurgienne puis elle s’est consacré à la recherche en nutrition de pointe pour aider son fils autiste à sortir de ses troubles.

« Après avoir guéri son fils de l’autisme, le Dr Campbell-McBride a repris son activité en 2000 et dirige aujourd’hui la Cambridge Nutrition Clinic. Elle s’est spécialisée dans une approche de l’autisme fondée sur l’approche nutritionnelle ; elle est mondialement reconnue en tant que spécialiste des troubles de l’apprentissage et autres pathologies mentales de l’enfant et de l’adulte, ainsi que des pathologies digestives et immunitaires de l’enfant. »

photoNatasha Campbell ne s’est pas contenté de contribuer à éclairer les liens entre le cerveau et le ventre, elle a mis au point un protocole nutritionnel qui a déjà permis à de nombreux enfants et adultes de guérir. J’admire la science et le dévouement professionnel mis au service de la vie de nos petits…y compris ceux devenus grands. Les pathologies guéries ou amplement soulagées sont multiples : autisme, troubles de l’apprentissage, dys-, TDAH, anorexie, schizophrénie, sclérose en plaques, fibromyalgie, dépression…Le protocole est exigeant mais tout à fait accessible à ceux qui veulent pouvoir enfin soulager leurs enfants, leurs proches, eux-mêmes ou encore des patients. La difficulté majeure est de trouver un professionnel qui puisse vous accompagner sur ce chemin. Car oui cette démarche nécessite un apprentissage, un grand soutien et une adaptation précise en fonction du profil de chacun. On ne change pas ses habitudes en un jour.

Je suis très heureuse de pouvoir alléger cette difficulté en vous proposant une formation-accompagnement de 3 jours assurée par un médecin nutritionniste et une hygiéniste diététicienne toutes deux formées par le Dr Natasha Campbell et ayant expérimenté le protocole alimentaire avec leurs proches ou des patients.

C’est une opportunité unique et exceptionnelle dans la métropole lilloise. Le groupe sera limité à une dizaine de participants afin de pouvoir tenir compte des particularités et des besoins de chacun. Familles et professionnels de la santé ou de l’accompagnement trouveront là un outil efficace et concret pour améliorer le plus de vies possible.

Alors venez, où que vous soyez, faites le déplacement, la vie en vaut la peine (notre région aussi, il est vrai !).

Françoise Hanoul et le Dr Anne Van de Winckel ont eu la gentillesse de rédiger un document qui présente un peu plus en détail cette formation-accompagnement. Je vous la livre ici : formation-methode-campbell

Jusqu’au 15 septembre je peux vous offrir un tarif préférentiel, c’est cadeau, c’est parce que je vous aime ! Et aussi parce que les résultats de cet accompagnement et de ce protocole redonne tellement d’espoir à ceux pour qui la vie est bien difficile au jour le jour…

 

Qu’est-ce qu’on mange ? (2)

Je partage avec vous une recette qui a eu son petit succès en famille hier. J’ai commencé par me poser et faire le point sur les trois étapes :

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Côté priorités je privilégie santé, plaisir, simplicité et hier j’avais besoin de nouveauté. Ma créativité me semblait insuffisante j’ai donc navigué dans mes sources d’inspiration et mon choix s’est arrêté sur le site de recettes lié au vitaliseur, mon ustensile de cuisine quasi unique. J’ai pris comme point de départ la recette de « tartines d’aubergines aux sprats, vinaigrette d’herbes et de tomates » et j’ai amélioré en fonction de mes priorités.

Côté source d’approvisionnement je n’ai pas eu besoin d’aller très loin : frigo et jardin. C’est vraiment chouette de prévoir suffisamment de bons légumes et bonnes sources de protéines pour toute la semaine. Car si il y a un truc qui me déplait c’est de devoir ressortir faire des courses. D’une part parce que je n’aime pas les magasins, d’autre part parce qu’en y retournant je perds un temps précieux et je peux me laisser tenter par des choses dont je n’ai pas vraiment besoin. Pour les herbes il m’a suffit de piocher au potager : fraîcheur garantie et vertus préservées.

Voici pour la recette : j’ai coupé une aubergine en tranches d’un centimètre et les ai passées à la vapeur douce jusqu’à ce qu’elles soient tendres sans être fondantes car il faut qu’elles se tiennent pour accueillir la suite. Pendant la cuisson j’ai coupé des tomates et des concombres en brunoise. Je brosse les légumes et je laisse la peau pour préserver un maximum de vitamines. Idéalement je choisis du bio ou un producteur local qui traite le moins possible ses légumes, sinon la peau est trop chargée en substances toxiques dont je tente justement de préserver mon organisme. A la dernière minute je suis allée chercher de la ciboulette et du basilic au jardin puis je les ai finement hachés au couteau avant de les ajouter aux crudités. Un trait d’huile d’olive (bio, 1ère pression à froid, incontournable), une pointe de vinaigre balsamique (pas trop afin d’éviter de charger en acidité). J’ai disposé les tranches d’aubergines dans un plat, ajouté les sprats (déjà cuits, conservés à l’huile, des petites merveilles ramenées des vacances en Lettonie), couvert des légumes et placé le tout au réfrigérateur.

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Les « plus » de ce plat : il a plu et c’est primordial de faire plaisir quand je cuisine + il contient du cru et du cuit + riche en fibres + riche en acides gras essentiels (merci les petits poissons). Pour les conseils nutrition et la bonne composition des assiettes je me réfère toujours au FitGood Club de Lille. J’attends d’ailleurs sa rentrée avec impatience, prochain rendez-vous le lundi 10 octobre 2016. C’est décidé, je m’abonne pour l’année (8 clubs avec repas et triple coaching mental, sportif et diététique).

Ce n’est pas grand chose, c’est vraiment rapide à faire, j’aurais pu trouver l’idée moi-même mais justement c’est l’intérêt de consulter des sources d’inspiration : relancer sa créativité en reboostant son envie.

NB : pour les petits c’est tout bon, sauf s’ils ne sont pas encore au cru et hormis le vinaigre. Si besoin d’ajout de féculents je recommande une pomme de terre froide cuite à la vapeur douce ou une tranche de pain noir type pumpernickel.

Bon ap’

 

Qu’est-ce qu’on mange ? (1)

 

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Mon clin d’oeil pain d’épices relayé par Christine Bouguet-Joyeux

En préparant la liste des menus à venir pour les petits et les grands de cette maison, j’ai repris tous mes outils favoris dont l’ouvrage de Christine Bouguet-Joyeux intitulé Guide pratique de la gastronomie familiale, L’art et le plaisir pour la santé. J’en ai profité consulter les actualités de son site et je me suis rendue compte qu’elle avait relayé mon article sur le pain d’épices. Merci à elle.

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cité par Christine Bouguet-Joyeux

 

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Privilégier les productions locales, idéalement en bio

Chez Chadorlote les menus sont essentiellement composés de végétaux, 60% à 80% c’est l’idéal, sans oublier la proportion de laitage recommandée en fonction de l’âge. Je ne délaisse pas le poisson, la viande et les oeufs sauf si c’est le choix des familles des petits que j’accueille. Continuer la lecture de Qu’est-ce qu’on mange ? (1)

Les enfants aiment le pain d’épices !

 

C’est suffisamment étonnant pour partager la recette : les enfants aiment le pain d’épices.

Quand j’ai dit à la maman de G. que son petit de 2 ans avait fait honneur au pain d’épices maison pour le goûter, elle était très surprise : « Ah bon ?! Mais même les adultes c’est rare qu’ils aiment ça ! »

J’ai testé, j’ai gagné : de 13 mois à 39 ans, ici tous adeptes.

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Voici la recette de laquelle je me suis inspirée :

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Au potager.

Depuis le printemps c’est retour au jardin. Cette année on teste le potager hors-sol en ville. L’avantage c’est qu’on connait la qualité de la terre qu’on a mise dans les carrés pour accueillir plants et graines.

Jeanne au jardin.

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Jardin comestible en cuisine

Ces jours-ci on s’amuse en cuisine. On fait germer des graines dans un bocal, toutes sortes de graines. C’est amusant, c’est facile à faire, c’est bon et c’est santé ! Même les plus petits peuvent jardiner avec succès dans ces conditions.

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